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historique jusqu'en 2007

En 2007, nous fêtions le jubilée du 100e anniversaire. Petit retour sur les événements de ces 100 dernières années…

1899

Avec la seconde fondation de la société cynologique « Berna », l’idée de l’élevage de chiens pure race a aussi fait son chemin dans le canton de Berne

1902

Pour la première fois, quatre Dürrbächler sont présentés à l’exposition canine suisse de la Berna, à Ostermundigen, sous les jugements de Fritz Probst.

1904

Cinq mâles et une femelle sont présentés à l’Exposition canine internationale à Berne. Quatre d’entre eux seront primés et inscrits au LOS. « De par ses splendides couleurs qui nous rappellent aisément les chiens de Terre-Neuve, le Dürrbächler a suscité un grand intérêt ; il a conquis le monde de la cynologie. Et par son inscription au Livre des origines suisse, il a célébré la naissance d’une race pure. »

1905 / 06

Gottfried Mumenthaler ainsi qu’Emil Günther et Max Schafroth achètent le premier chien d’élevage.

1907

Lors de l’Exposition canine internationale de Lucerne, huit Dürrbächler sont présentés. Le juge du jour pour cette race est le docteur Albert Heim. Il publie un premier descriptif détaillé de la race dans la Centralblatt für Jagd- und Hundeliebhaber. Il y critique la truffe fendue et la qualifie de dangereuse malformation. Après l’exposition, probablement le 15 novembre, le Scheizerische Dürrbach-Klub est fondé par Messieurs Schafroth, Mumenthaler, Günther, Heiniger, Schertenleib, Haldimann, Ritz, Gsteiger, Lüthi et Bracher. Il a son siège à Burgdorf et compte 16 membres. Le premier président est élu en la personne de Monsieur Mumenthaler et un premier standard de race est publié.

1908

Lors de l’Exposition canine suisse, à Interlaken, vingt-huit Dürrbächler sont présentés, à celle de Langenthal, vingt-deux. Les sujets à poils longs et à poils courts sont jugés dans deux classes séparées. Selon Albert Heim, le Dürrbächler devrait avoir de longs poils, c’est pourquoi à Langenthal, les deux Dürrbächler à poils courts sont considérés comme des grands bouviers suisses. Albert Heim propose d’utiliser le nom « Bouvier Bernois » au lieu de Dürrbächler, car à l’origine la race était répandue dans tout le canton de Berne. Parallèlement à cette nouvelle description, la race intègre le groupe des chiens de bouvier. Le Club y oppose une féroce résistance pendant de nombreuses années. C’est notamment la description de « chien de bouvier » qui provoque la colère. En effet, le Dürrbächler ne fut jamais un chien de berger.

1909

Le Club travaille on ne peut mieux. Le bouvier bernois se répand plus largement. Lors de l’exposition de Bâle, dix-sept bouviers bernois sont présentés ; le juge est à nouveau Albert Heim. L’assemblée générale décide de n’autoriser la vente des femelles qu’à des membres du club.

1910

Le 24 avril 1910, le Club organise une exposition spéciale pour le bouvier bernois à Burgdorf. Cette dernière est gratuite pour les exposants et offre de jolis prix à la clé. Le but sous-jacent est de rassembler un maximum de chiens des alentours pour obtenir un aperçu du « cheptel d’élevage ». Cent sept chiens sont présents, tous montrant déjà une certaine unité. Quatre-vingt d’entre eux seront déclarés comme typique et seront ainsi admis pour l’élevage.

1912

L’assemblée générale adopte des prescriptions obligatoires, notamment en ce qui concerne les mâles de saillie : les membres paieront 20 francs par saillie et les non-membres, 30.

1913

Le Dürrbach-Klub prend définitivement le nom de « Club du Bouvier Bernois ».

1914

Le Club compte entre-temps quarante membres. Lors de l’Exposition suisse, Albert Heim publie un article intitulé Les bouviers suisses. Il y présente au peuple suisse les soins et l’élevage de cette race locale.

1914 à 1918

En raison de la Première Guerre mondiale, le nombre d’élevages et de membres dans le club diminue fortement. Les affixes d’élevage sont introduits et il est recommandé d’inscrire au LOS de la SCS les portées pure race et non plus seulement les chiens primés.

1918 et 1919

A la fin de la guerre, on ne compte plus que quinze membres. Lors de l’Exposition canine à Langenthal, seuls douze bouviers bernois sont présentés. Mais l’élevage reprend ensuite. De nouveaux membres rejoignent le club, probablement des personnes qui avaient autrefois élevé sans en faire partie. Des chiens sont de plus en plus régulièrement inscrits au LOS.

1922

Le 26 février 1922, le premier président du club Gottfried Mumenlthaler démissionne après quinze années passées à construire le club et la race.

1923

L’inscription et la protection d’un affixe d’élevage coûtent deux francs. En Allemagne, le SSV (Schweizerische Sennenhunde-Verein für Deutschland) est fondé.

1927

Le club ne cesse de s’étendre au-delà des frontières du canton. Les éleveurs présentent spontanément des pedigrees et les font tamponner par le club. Ce dernier compte environ quarante membres.

1928

Afin que le nom de « Dürrbächler » ne soit pas perdu, l’assemblée générale décide d’ajouter à la dénomination du club, « autrefois Club de Dürrbach, fondé en 1907 ».

1930 à 1939

Le club compte plus de cent membres. Chaque année, entre cent quatre-vingt et deux cent cinquante chiots sont inscrits au LOS. De plus en plus d’éleveurs participent aux expositions, y compris à l’étranger, afin de faire connaître le bouvier bernois. Il n’existe pas encore de prescriptions d’élevage ; chacun élève à sa façon. Une seule règle existe, celle de ne vendre les femelles qu’à des membres du Club. Trois bouviers bernois arrivent pour la première fois en Hollande.

1937

Le grand défenseur de la race, le docteur Albert Heim, meurt à l’âge de quatre-vingt-huit ans. Pour la première fois, des bouviers bernois sont exportés en Amérique et en Angleterre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1939-1945

La Seconde Guerre mondiale marque le monde de son empreinte. Le nombre de membres chute à soixante-deux, avant de croître à nouveau grâce à la publicité de messieurs Stadtmann et Krebs. Il atteint les cent cinquante. Chaque année, seuls soixante à cent vingt chiots sont inscrits au LOS.

1942

Messieurs Müller, Straumann et Stadtmann passent le premier examen de dressage avec un bouvier bernois.

1943

Une sculpture sur bois provenant d’un héritage d’Albert Heim est à nouveau introduite comme trophée.

1944

A Berne, se tient une exposition spéciale pour les quarante ans du Dürrbächler. L’article d’Albert Heim est réédité avec des compléments par messieurs Egg et Krebs.

 

1946

Sur l’initiative d’Hans Stadtmann, la Blässipost devient un journal propre au club. Elle paraîtra tous les trois mois jusqu’en 1956. Le nombre de membres atteint subitement les deux cents vingt. Deux cents seize chiens sont inscrits au LOS. Les membres votent pour la première fois un règlement d’élevage à main levée. Ce dernier fixe notamment la taxe de saillie (40 CHF et 10 CHF par chiot) et décrète que les mâles d’élevage ne seront à disposition que des membres de la SCS. Seuls six chiots peuvent être élevés par portée, dont maximum deux femelles. Le standard de 1910 est conservé (taille pour les mâles : de 58 à 70 cm, pour les femelles : de 53 à 66 cm, marques blancs souhaitées mais non obligatoires, un collier blanc, des tâches sur la nuque et des bottes blanches sont autorisés). Un conseiller en élevage est introduit.

1947

Lors de l’Exposition canine internationale de Bâle, on fête les 40 ans du Club du bouvier bernois avec une exposition intitulée « 5 générations de Dürrbächler ».

1948

Le chien de Terre-Neuve Pluto v. Erlengrund saillit la femelle bouvier bernois Christine v. Lux. L’un des sept chiots, la femelle Babette, est introduite dans l’élevage de bouviers bernois. Cette femelle ressemblant à un chien de Terre-Neuve est accouplée, à l’âge de trois ans, avec le bouvier bernois Aldo v. Tieffurt. Deux des chiots présenteront les marques typiques au bouvier bernois.

1952

Alex v. Angstdorf, un arrière-petit-fils du croisement entre un chien de Terre-Neuve et un bouvier bernois vient au monde. Il deviendra plus tard champion du monde et aura une influence non négligeable sur l’élevage avec ses cinquante-et-une portées.

1954

En raison d’un nombre trop élevé de naissance, l’impossibilité de placer tous ces chiots et suite à des problèmes d’élevage, le comité décide de retirer de la vente les chiens timides, mal dessinés, ceux déviant du standard et ceux ayant des défauts de dentition. Une commission d’élevage est formée afin de procéder aux contrôles.


 

1955

L’assemblée générale décide la création d’un livre d’élevage propre au Club du bouvier bernois, afin d’avoir un meilleur aperçu des sujets d’élevage. Le contrôle de nichées devient obligatoire pour tous les éleveurs du CBB. Dans le livre d’élevage, seuls sont introduits les jeunes chiens de portées contrôlées. Le secrétariat du Livre des origines de la SCS n’a le droit de délivrer de pedigrees qu’aux chiens reconnus par le club.

1956

A la fin de l’année 1956, la Blässipost, le journal propre au club, est abandonnée. Dès le 1er janvier 1957, elle paraît une fois par mois intégrée au journal de la SCS Schweizer-Hundesport.

 

1957

Lors de l’ECI de Berne, une exposition spéciale pour les cinquante ans du CBB est organisée. La manifestation se termine par un banquet au casino. Hans Stadtmann et Jules Halter créent une brochure anniversaire. Les sélections d’élevages, jusqu’ici volontaires, ont fait leurs preuves. Mais comme il n’est possible que de conseiller les éleveurs, des chiens inadéquats sont quand même utilisés pour l’élevage. Il s’agit en premier lieu de chiennes timides, mal dessinées, à la démarche et la dentition critiquables. L’assemblée générale rend la sélection d’élevage obligatoire. Les descendants de parents non sélectionnés ne seront plus inscrits au LOS.

 

 

 

 

1958

Pour la première fois, un registre des mâles paraît.

1963

Les chiens timides restent un problème. Comme de tels chiens servent encore à l’élevage, on élabore un test de caractère.
 

1964

L’assemblée générale impose l’obligation du test de caractère pour les futurs sujets d’élevage. D’autres pays montrent leur intérêt pour le bouvier bernois. De plus en plus de chiens sont exportés en Allemagne, en Hollande, au Danemark, en Suède, en France, en Espagne et aux États-Unis.
 

1967

La limitation de deux femelles par portée est levée afin d’adapter les prescriptions d’élevage à celles de la SCS. Seuls six chiots peuvent toujours être élevé, mais indépendamment du sexe. Pour la première fois, le problème de la dysplasie des hanches est discuté. Le groupe régional de Berne fondé en 1959 est officiellement reconnu par l’assemblée générale du CBB. Le 60e anniversaire du club se fête lors d’une exposition canine à Langnau et par une brochure rédigée par Ernst Tschanz et Hans Stadtmann.

1970

Les Romands fondent également un groupe reconnu par le CBB.

1971

Le groupe régional de Suisse orientale est fondé. L’assemblée générale décide d’introduire l’obligation de radiographier les sujets d’élevage. Des chiens avec un degré de dysplasies des hanches supérieur à 2 ne sont plus admis à l’élevage.

1972

Le groupe régional de Dürrbach est reconnu. Le standard est révisé (taille pour lesd mâles : de 64 à 70 cm, pour les femelles : de 58 à 66 cm, un collier blanc, de grosses taches blanches, des bottes et des marques fortement asymétriques ne sont plus tolérés).

 

1976

Le groupe régional de Suisse centrale est fondé. La dernière assemblée générale du CBB se déroule à Lausanne. Le Club compte 1581 membres. Au lieu d’une assemblée générale, les représentants des cinq groupes régionaux et les membres individuels se rendront chaque année à une assemblée des délégués. (Un délégué par tranche de 20 membres) L’AD vote un renforcement des prescriptions relatives à la dysplasie des hanches. Seuls les chiens avec un degré inférieur ou égal à 1 seront désormais admis à l’élevage.

1977

Le 70e anniversaire du CBB est célébré par une exposition canine dans la halle du marché de Berthoud.

1980

La première exposition des mâles se déroule dans le sable de Schönbühl.

1981

Le CBB devient le deuxième plus gros Club de race de Suisse, avec 1900 membres.

1982

Le 75e anniversaire du CBB est célébré à Langenthal avec une exposition canine accompagnée d’une cérémonie et d’un défilé. Le journal de la SCS publie un carnet de fête dédié au bouvier bernois.

1984

La deuxième exposition des mâles se déroule à Langenthal. Le tatouage des chiots devient obligatoire. Le nombre de membres est à son maximum, soit 2 200 membres.

1985

Le CBB organise son premier concours de travail interne au Club avec une participation record de trente-huit bouviers bernois.

1987

Le 80e anniversaire du CBB est célébré à Montricher avec une exposition canine.

1991

Les prescriptions relatives à la dysplasie des hanches sont encore renforcées. Les chiens ayant une dysplasie de degré 1 ne peuvent être accouplés qu’avec des chiens exempts.

 

1992

L’obligation de radiographier les coudes est introduite. Seuls les chiens avec un degré inférieur ou égal à 1 seront admis à l’élevage. Les sujets d’élevage âgés de moins de cinq ans doivent être radiographiés rétroactivement. Les chiens ayant un degré supérieur ou égal à 2 sont barrés de l’élevage.

1994

Un nouveau règlement d’élevage et de sélection entre en vigueur le 1er juillet. Les valeurs de DH et DC des descendants sont désormais publiées. La limitation à six chiots par portée est levée. Tous les chiots peuvent être élevés à condition d’avoir suffisamment de place à disposition et de leur consacrer suffisamment de temps. Un congrès international pour les juges est organisé les 3 et 4 décembre sous la houlette du président de la commission d’élevage Friedrich Schweizer à Baden. Des juges d’exposition de toute l’Europe s’y retrouvent.


1995

Un organe central pour le recensement des chiots est constitué. Il est dédié aux acheteurs potentiels et à tous ceux qui souhaitent recevoir des conseils.

1996

Le 13 juin, de nouveaux statuts entrent en vigueur. Le 30 novembre, une première journée des éleveurs est organisée à l’initiative de la Commission d’élevage. L’événement ayant suscité un grand intérêt, il sera reconduit dorénavant chaque année.

1997

Les festivités du 90e anniversaire du CBB sont lancées le 15 juin avec un défilé et l’ouverture d’une exposition d’été à Bühlberg ob Lenk. Au programme figurent diverses manifestations avec des bouviers bernois, réparties sur sept dimanches. Pour la première fois, une semaine d’éducation est organisée par le CBB à la Lenk. Suite à l’engouement des participants, une telle semaine sera proposée chaque année. Une exposition anniversaire et une soirée festive se déroulent à Thoune, en partenariat avec le Zuchtverband der Schweizerischen Hunderassen (Association des éleveurs de chiens de races suisses). Une équipe réalise une riche brochure informative. Le 25 janvier, la télévision suisse diffuse un reportage sur les animaux. Le film réalisé en partie avec des chiens sans pedigree et reléguant de fausses affirmations donne une image très négative du bouvier bernois et de son élevage. Le CBB publie un rectificatif dans la revue Hunde (l’équivalent de l’InfoChiens Cynologie Romande pour les alémaniques) et via lettres aux lecteurs. Des recherches insuffisantes ont conduit à la publication de ces informations erronées. L’organe de recensement des chiots est définitivement mis sur pied.

1998

Le 13 septembre, un club show est à nouveau organisé après des années de pause. 300 chiens sont inscrits. Cette manifestation organisée à Langenthal rencontre un franc succès.

1999

Le Fonds pour la sauvegarde de la santé est créé en mars. L’Assemblée des délégués approuve un avenant aux statuts du CBB dans ce but. Le 25 avril, une exposition pour les mâles est à nouveau organisée après des années, à Aetikofen. La Commission d’élevage propose un livre d’élevage et de sélection, vendu à tous les intéressés. Il recense tous les chiens sélectionnés durant l’année avec une photo, le pedigree, les rapports de sélection et de jugement, la liste actuelle des mâles de saillie, une liste de tous les chiens sélectionnés, les résultats de dysplasies des hanches et des coudes des descendants des mâles de saillie, des statistiques des DH et DC des portées classées par années de naissance, une valeur d’élevage pour les DH et DC pour les chiens d’élevage, une liste des portées avec des informations issues des rapports des contrôleurs de nichées et des statistiques générales de l’élevage.

2000

Le CBB rejoint l’Internet. Un site internet est mis en ligne en début d’année. Du 16 juin au 12 septembre, une exposition met à l’honneur le bouvier bernois et son histoire à Affoltern i.E. Dans le cadre de cette exposition, de nombreuses représentations sont proposées par les groupes régionaux. On y présente la variété, la volonté de travailler et le bon caractère de nos chiens. Le 9 septembre, a lieu le premier symposium international en Suisse. Des fonctionnaires de quinze clubs étrangers font le déplacement. Le 10 septembre, un club show est à nouveau organisé à Langenthal.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

2001

Le 2 septembre, a lieu l’exposition des mâles à Birmensdorf (ZH). Comme la loi sur la protection des animaux et les directives de la SCS ont changé, une révision complète des statuts s’impose. Une commission est formée en été pour entreprendre ce travail.

2002

Le 1er janvier, le nouveau Règlement d’élevage et de sélection entre en vigueur. Des modifications importantes y sont amenées, telles que la limitation du nombre de portées à dix par étalon et par année civile, l’obligation de présenter en exposition tout chien avant de pouvoir le sélectionner et obtenir au minimum la mention « très bon ». Le tatouage est remplacé par le microchip. L’Assemblée des délégués accepte les nouveaux statuts qui entrent en vigueur après l’approbation par la SCS. Le nouveau Règlement des prix d’exposition est également accepté. Après deux club show couronnés de succès à Langenthal, le CBB décide d’organiser une exposition avec attribution du CAC tous les deux ans. Cette année-là, elle se déroule le 29 septembre à Lenzburg (AG). En marge de cette manifestation, un deuxième symposium international est organisé le 28 septembre. Des représentants de 21 pays s’y rendent. La Commission d’élevage est reformée ; elle se divise dorénavant en sept départements. Ainsi, le travail est mieux défini aux yeux des membres. Un groupe de bouviers bernois fait une présentation remarquable à l’« Expo agricole ».

2003

Un nouveau standard de race entre en vigueur en mai. Il est adapté au nouveau schéma de la FCI. Bien que n’apportant pas de modifications notables, il définit plus clairement . Le 28 septembre, se tient une exposition de mâles à Langenthal. Le nombre de membres ne cesse de chuter depuis 1984 et il devient de plus en plus difficile de trouver des personnes engagées pour le club.

2004

Une révision du Règlement d’élevage et de sélection entre en consultation. Une équipe est dévolue à la programmation d’une banque électronique de données d’élevage. Le club show a lieu le 5 septembre à Langenthal. Le CBB se retire du Zuchtverband für Schweizer Hunderassen.

2005

L’Assemblée des délégués approuve une nouvelle modification des statuts. Dès lors, le Comité central est réduit. Les responsables des expositions, de l’éducation / de la formation, des relations publiques et de la rédaction de la Blässipost officieront comme fonctionnaires. Le 11 avril, pour la première fois, un cours d’éducation est donné. Il a pour but de transmettre aux groupes régionaux des connaissances sur la conduite de cours et sur l’éducation, afin de leur donner un nouvel élan. Le 11 septembre, les exposants se rencontrent à Birmensdorf (ZH). La Commission d’élevage édite une nouvelle brochure pour les propriétaires de chiots ainsi qu’une pour les propriétaires d’étalons. Un comité de six personnes est constitué en vue de l’organisation des festivités du 100e anniversaire.

2006

De nouveaux statuts entre en vigueur. Le problème des annonces de décès des chiens d’élevage est traité avec plus de fermeté. Les nouvelles directives de la SCS autorisent à présent des amendes pour les infractions au Règlement d’élevage. Un nouveau site internet est mis en ligne. Il permet de mieux maintenir les informations à jour. Diverses propositions sont faites pour déterminer le degré d’intégration de la Commission de santé à l’intérieur du CBB, ainsi que les attentes envers ses membres. Une collaboration future semble ne plus être possible. Une nouvelle commission doit donc être constituée. Le CC ainsi que le groupe régional de Suisse orientale proposent une version modifiée des statuts du Fonds pour la sauvegarde de la santé lors de l’AD 2007. Celle-là n’est pas acceptée.

Origines

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